Conclusion


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          En conclusion, pour répondre à notre problématique initiale qui est "Quel lien peut-on établir entre l’évolution des allergies aux pollens et le lieu d'habitat ?", nous pouvons dire que le risque allergique est étroitement lié à l'exposition aux pollens et par conséquent à la situation géographique; ce ne sont pas les mêmes pollens mis en cause dans les cas de pollinoses entre le Sud et le Nord-Ouest de la France.
De plus, contrairement aux idées répandues, le risque allergique est désormais plus important en ville qu'en campagne. Une telle situation s'explique par les politiques d'aménagements d'espaces verts et les jardins publiques, favorisant une importante diversité de pollens allergisants, ainsi que par une forte pollution atmosphérique principalement due à l'utilisation des voitures qui rend les pollens plus allergisants encore. La pollution est donc un facteur majeur dans l'évolution du nombre d'allergiques aux pollens.
D'autres facteurs, tel le mode de vie (hygiène, traitements des maladies, utilisation des médicaments, ...) ou les conditions météorologiques justifient également l'évolution constatée.
De la sorte, même si la prédisposition génétique joue un rôle majeur dans l'allergie, il existe grand nombre de facteurs liés à l'environnement du patient qui peuvent interférer dans la manifestation de la réaction allergique.

Finalement, nous pouvons dire que les milieux riches, industrialisé et donc pollués, où les conditions climatiques sont favorables à la pollinisation, sont les plus propices aux allergies polliniques.




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